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Coutumes et traditions des CarrierLe cycle de la vieDurant toute sa vie, un Carrier devait subir différents rites de passage. Du jour de leur naissance jusqu’à leur mort, un complexe processus de coutumes et de cérémonies faisait partie intégrante de leur vie. Tissage et coutureLes Carrier connaissaient l’art du tissage et de la couture. Ils étaient maîtres dans la création de paniers. Ils étaient faits d’écorce de bouleau ou d’épinette et cousus avec les racines d’un arbre. De l’écorce de cerisier était cousue sur ces paniers en guise d’ornement. Deux des paniers les plus communs étaient les grands paniers en bouleau (Tilh) pouvant contenir de quinze à quarante litres et de petits paniers peu profonds servant à la cueillette de baies et de contenant pour boire. Les déplacementsLes Carrier se déplaçaient régulièrement sur leur territoire. Ils se déplaçaient un peu partout pour des raisons économiques de même que pour chasser ou pêcher, mais aussi pour des raisons sociales afin de visiter des amis et de la famille vivant en régions éloignées. Durant l’hiver, on se déplaçait à l’aide de raquettes à neige. Des sentiers reliaient les camps, les zones de chasse, les terrains de rassemblement et les colonies saisonnières. Certains sentiers s’étendaient à l’extérieur de la région jusqu’aux territoires voisins tels que ceux des Chilcotin, des Shuswap, des Nuxalk et des Carrier du Centre. Le canoë était le moyen de transport de base. Il y avait deux types de canoë. Un était fait d’écorce de bouleau ou d’épinette et était construit pour les voyages comportant beaucoup de portage. L’autre, plus lourd et fait de peuplier de Canada, était construit pour traverser les grands cours d’eau où il n’y avait nul besoin de portage. Lire une histoire de Doreen Patrick |
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